« The mirror »
Un artiste peintre, bâtisseur d’un ailleurs
Ce sont des passages dans des labyrinthes imaginaires, des pas sages comme remède mental dans un monde désordonné, chaotique et insolent.
Dans le mot ZEN, il y a un aspect visuel géométrique caché. Le N est un Z, le Z est un N, tout dépend de son placement dans l’espace, ou du sens de lecture du mot. Il pense, il affirme que le dessin a un dessein. Ou du moins il le cherche dans ses dessins, dans sa peinture architecture.
Mes rêves entoilés, mes rêves étoilés…
Il aime faire naître sous ses doigts et ses pinceaux des villes imaginaires, des méditations sur le réel et l’irréel, à regarder longtemps de façon fixe, limite obsessionnel, comme un fix addictif, neuronal et pictural, alors le regard se perd, suit un fil conducteur, une forme puis une autre, une couleur puis une autre, pour enfin se reperdre dans l’illusion géométrique.
Il enferme le voyeur de ses œuvres dans un schéma, un plan géométrique, pour que lui ensuite trouve seul l’air, l’oxygène dans sa vie. Car son art n’est jamais fermé, il laisse malgré la forme géométrique toujours une solution, une fuite possible, souvent située en haut du tableau. Peut-être y voyez vous une orientation divine. Lui se questionne sur lui-même, car comprendre le sens de son œuvre est une arrogance qu’il n’a pas. A vous de lui dire…
Il recherche l’ailleurs, l’ivresse, paradoxalement dans l’ordre, et non dans le chaos.
C’est un peintre claustrophobe, qui se protège du dehors, inquiétant par la rectitude de ses lignes et la volupté de ses courbes. Cela est sans doute la résultante inconsciente de sa formation de graphiste architecte. Plus que peindre, il construit, il bâtit, sur toile, des mondes, des cités, des forteresses pour son âme en danger et la votre.
Chaque peinture est un espace de vie
Monochrome ou bariolée, chaque œuvre a son univers de couleurs ; ou son unique vert sans couleur, son unique rouge, comme son tableau « Red city ». Puzzle, labyrinthe, monochrome, couleurs, sa quête est toujours cette ligne sensible entre équilibre et perdition ou la recherche de la perdition dans l’équilibre.
Il recherche la paix mentale, la paix géométrique, symbolique, amyothique, l’intérieur, l’om, le home, la raison plus que la passion dessinée passionnellement. La maison, c’est cela il fait le plan de la maison, de la cité idéale, rêvée et irréelle. Alors vos âmes y circulent librement, car la liberté est toujours déterminée par un espace. Cet espace, il vous le créer.
Welcome in his City, Welcome Home…
« Crossroad »
« Dephts »
« Electric city »
« Dunes »
« Holy cemetary »
« Les andes »
« Organic seeds »
« Red city »
« Procession »
« The mirror »
« Hollywood »
« Crossroad »
« Dephts »
« Electric city »
« Dunes »
« Holy cemetary »
« Hollywood »
« Les Andes »
« Organic seeds »
« Procession »
« Red city »